Des conditions d’emprunts jamais vues propulsent le marché immobilier

Les taux d’emprunts étant actuellement très bas, (sans compter que leur baisse continue) ils contribuent à la bonne santé du marché immobilier. Si l’on prend en exemple un emprunt immobilier sur une période de 20 ans, nous avons pu constater une diminution de 0,2% entre les mois de Février et Janvier 2016.
« Cette baisse de 0,2% engendre une augmentation du pouvoir d’achat des futurs acquéreurs de près d’1,6% »
Il n’y a pas que le pouvoir d’achat qui a progressé, le nombre de transactions également. Sur l’année 2015, 830 000 acquisitions immobilières ont été enregistrées sur l’hexagone.
Parlons prix de l’immobilier, ces derniers ont augmenté de 0,3% sur Paris entre février et janvier. La petite couronne enregistre une hausse des tarifs des biens immobiliers de 0,2% quand la grande couronne voit ses prix chuter de 0,3%.
Des prix de l’immobilier très différents selon les villes
Quand les prix de Nantes augmentent d’environ 3,7%, ceux de Lille ont un effet totalement inverse pour dégringoler de 3,8%.
« La cité Lilloise est aujourd’hui la victime de la mesure sur l’encadrement des loyers. Une perspective qui fait fuir délibérément les investisseurs »
D’un point de vue purement économique, les villes de provinces dynamiques engendrent une augmentation des prix de l’immobilier. Pour exemple Lyon et ses presque 1% d’augmentation. Mais d’autres surfent plutôt sur une tendance dégressive. Marseille, Lille, Strasbourg ou encore Nice pour ne citer qu’elles, subissent de plein fouet la baisse de la demande.